Pendant les mois de décembre 2014 et janvier 2015, j’ai réalisé une enquête auprès d’une vingtaine de récents et futurs docteurs ayant soutenu leur thèse ces cinq dernières années, ou actuellement en cours de thèse. Leur point commun est d’avoir contribué à la recherche scientifique sur la bande dessinée, dans des disciplines variées : littérature, histoire, sociologie, langues étrangères, SIC… Les entretiens issus de cette enquête seront publiés et serviront de matière à une série d’articles sur la « jeune recherche universitaire sur la bande dessinée », publiée sur Le Carnet de Comicalités. La transcription des entretiens sera publiée ici-même, sur Phylacterium.
Aujourd’hui, Phylacterium fait un pas de côté en interrogeant deux doctorantes pour lesquelles la bande dessinée est un objet périphérique. Aurélie Huz s’interroge sur l’intermédialité dans la science-fiction française, tandis qu’Anastasia Scepi travaille sur la stylistique de la caricature dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Comment la bande dessinée s’intègre-t-elle à leurs réflexions ?
Où il est question de circulation de concepts entre le texte et l’image, d’objets universitaires peu traités et de découverte de la bande dessinée.
Lire l’entretien d’Aurélie Huz
Lire l’entretien d’Anastasia Scepi