Pour cette avant-dernière « tendance numérique », je vais m’aventurer sur le terrain de l’horreur, conçue ici comme « genre » narratif et visuel. Car, si ce n’est pas là une tendance lourde de la bande dessinée numérique, comme pouvaient l’être la bande dessinée de presse ou le documentaire, c’est dans ce domaine que des créations parmi les plus inventives de ces deux dernières années ont vu le jour chez des auteurs français. Et elles posent d’intéressantes questions sur les potentialités immersives de la création numérique…
Anticipation critique (1) : Catharsis de Luz (Futuropolis, 2015)
De l’envie de commenter autrement les parutions récentes prises dans le flot médiatique, encouragé par un Web devenu trop prolixe, m’est venue cette idée de nouvelle rubrique pour Phylacterium : « Anticipation critique ». L’idée est d’aborder une oeuvre récente par une fiction d’anticipation, en se demandant : comment sera lu cet album dans le futur ? Un futur à imaginer, bien sûr, dans un exercice de critique-fiction pour mieux dévoiler l’universalité des images.
Première oeuvre à passer par cet exercice : Catharsis de Luz, qu’on ne présente plus. Cet article fait pendant à une critique plus traditionnelle que j’ai publié sur nonfiction.fr cette semaine (Merci à eux !).
Un été en numérique : la tournée mensuelle de Phylacterium
Avant que la rentrée ne nous réserve quelques nouveautés, je vais m’attarder sur les actualités de ces mois de juillet et août autour de la bande dessinée numérique. Des news éparses, mais qui témoignent d’un dynamisme discret qui ne s’interrompt jamais vraiment…
Le retour des dimanches oubapiens : spécial Ligne Claire (4)
Mr Petch : Les plus fidèles lecteurs de Phylacterium se souviennent peut-être de mes « dimanches oubapiens » de l’été 2010. Hé bien la torpeur de ce mois d’août 2015 me conduit à revenir sur ces charmants exercices de style… Et donc à retrouver ce cher Fulgence !
Le retour des dimanches oubapiens : spécial Ligne Claire (3)
Mr Petch : Les plus fidèles lecteurs de Phylacterium se souviennent peut-être de mes « dimanches oubapiens » de l’été 2010. Hé bien la torpeur de ce mois d’août 2015 me conduit à revenir sur ces charmants exercices de style… Et donc à retrouver ce cher Fulgence !